jeudi 22 décembre 2016

Le bagne...


Salut l’Ami(e),

Dans le chapitre 6 de « Le temps des regrets » tu as entendu parler du bagne. Nous ne sommes pas plus précis sur ce point pour ne pas spoiler ceux qui n’auraient pas encore lu ce chapitre.

Le concept du bagne est sorti de la tête de No
quand il a commencé à écrire une histoire dont le nom était « Le soulèvement de Parme ». Dix chapitres de cette histoire ont été écrit mais elle est restée au stade inachevé. Par contre, elle nous à apporter beaucoup. Le soulèvement de Parme est, par ailleurs, devenu un grand moment historique de notre monde. C’est aussi cette histoire qui est à l’origine de la première version de la magie, mais nous t’en parlerons un peu plus dans l’article qui sera consacré à celle-ci.

Toujours est-il que, au début de cette histoire, le héros du récit, Berryl Churros, se mit à dos un grand seigneur – ben oui, au moment de la rédaction de cette histoire, le concept d’Alpha n’était pas encore né – et la potence le guettait. Faire tuer le héros au bout de trois chapitres… mouais, ce n’était pas une bonne idée… alors comment le sortir de ce pétrin. Après avoir longuement discuté à la cantine autour de ce problème avec Yo, No eut l’idée du bagne, et Yo s’empressa de la trouver plutôt bonne.

Très rapidement, No se mit à y réfléchir et il mit en place les bases du bagne qui servirait ensuite à Yo pour construire « le Temps des Regrets ».

Les bagnes sont, pour les prisonniers aux Terr’Mola Terrestre, situés sur une île. Les Bagnards y travaillent le bois et fabriquent des tuiles en argiles.

Tous les mois, un navire apporte de nouveaux prisonniers, des vivres et du personnel tandis qu’une partie de celui-ci retourne sur le continent.

La garde de l’île n’est pas assurée par des Kaldiniens. Ce sont des soldats de Terr’mola Terrestre qui l’assurent en patrouillant sur l’île pendant que des gardes de Terr’mola Requin sillonnent les eaux profondes des côtes.

Un prisonnier qui arrive au bagne ne sera plus jamais le même. En effet, à son arrivée, ses ongles et ses dents sont arrachées. Bon… Sur ce point, aujourd’hui encore, il faut avouer que le large sourire qu’arbore No lorsqu’il en parle effraie quelque peu Yo ;-). Bref, le prisonnier souffre pendant plusieurs jours. Ainsi, il ne représente plus aucune menace sous sa forme animale. Très souvent, il en résulte des séquelles psychologiques. Perte de confiance en soi, refus catégorique de passer sous sa forme animale, dépression. Après tout, une part d’eux vient de leur être arraché. Dans d’autre cas, cela peut entrainer chez le sujet une immense haine envers la société.

Leurs journées sont rythmées par le travail sous le fouet et la maltraitance des gardes. Grand nombre meurent dans pendant leur détention. Il faut dire qu’ils ne vont pas là-bas pour des petites peines de quelques semaines.

Pour ceux qui survivent, le retour dans la vie extérieure est terrible. Ils portent sur eux les stigmates de la détention. L’absence d’ongles et de dents les marquent à vie comme des parias, et plus personne ne voudra d’eux dans un clan.

Ils se retrouvent alors errants, vivant de vols et autres larcins. Quand ils ne retournent pas au bagne après avoir été à nouveau appréhendés, ils sont souvent tués. Leur seul moyen de survivre est de former un clan des bannis de la société. On en trouve plusieurs sur le continent. Certains cherchent juste à survivre, d’autres sont organisés en groupes de malfaiteurs.

Voilà, tu viens de lire les lignes directrices qui ont aidé Yo à créer quelques-uns de ses personnages.

Cette semaine voici le chapitre 7 de « Le temps des regrets ».



Bonne lecture. La semaine prochaine le Blog fait une petite pause il y aura juste le chapitre 8 de publié. Nous te retrouvons donc le 3 Janvier 2017 pour d’autres articles.

Passes de Bonnes Fêtes et à l’année prochaine !

No et Yo !

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